Pour un garçon, plantons la fourchette!
Dans les croyances de nos arrières-grands-mères, si une femme voulait avoir un garçon, il fallait qu'elle mange plus autour du jour de la conception mais aussi durant toute sa grossesse! Nous avons tous pensé que cette idée était du domaine de la lubie, mais une récente étude britannique aurait tendance à prouver qu'il n'y a pas que du faux dans cette rumeur!
L'équipe britannique dirigée par le Dr Fiona Matthews, s'est en fait, penchée sur le rapport entre le bilan calorique des futures mères et le sexe de l'enfant à naître! Il en est ressorti que 56% des femmes qui suivaient le régime alimentaire "le plus riche en calories, en potassium, en calcium et en vitamine E, C et B12" ont donné naissance à un garçon! C'est toujours 10% de plus que pour les femmes ayant un bilan calorique plus faible!
En revanche, le Dr Fiona Matthews et ses collègues de l'Université d'Exeter et d'Oxford, se refusent à affirmer qu'il faut plus d'énergie à un embryon mâle pour se développer! Les mécanismes exacts n'étant pas, à l'heure actuelle, précisément maîtrisés!
"Il est clair que les habitudes alimentaires jouent un rôle central dans le déroulement d'une grossesse. La tendance dans les pays développés, de négliger les petits-déjeuners et d'opter pour une alimentation hypocalorique pourraient expliquer en partie la baisse sensible des naissances masculines."
Ce serait à essayer cette histoire, j'ai toujours voulu une fille en 1er (c'est fait!), et un garçon en 2ème (à faire!), donc pourquoi pas!!!
L'équipe britannique dirigée par le Dr Fiona Matthews, s'est en fait, penchée sur le rapport entre le bilan calorique des futures mères et le sexe de l'enfant à naître! Il en est ressorti que 56% des femmes qui suivaient le régime alimentaire "le plus riche en calories, en potassium, en calcium et en vitamine E, C et B12" ont donné naissance à un garçon! C'est toujours 10% de plus que pour les femmes ayant un bilan calorique plus faible!
En revanche, le Dr Fiona Matthews et ses collègues de l'Université d'Exeter et d'Oxford, se refusent à affirmer qu'il faut plus d'énergie à un embryon mâle pour se développer! Les mécanismes exacts n'étant pas, à l'heure actuelle, précisément maîtrisés!
CONCLUSION:
"Il est clair que les habitudes alimentaires jouent un rôle central dans le déroulement d'une grossesse. La tendance dans les pays développés, de négliger les petits-déjeuners et d'opter pour une alimentation hypocalorique pourraient expliquer en partie la baisse sensible des naissances masculines."
Ce serait à essayer cette histoire, j'ai toujours voulu une fille en 1er (c'est fait!), et un garçon en 2ème (à faire!), donc pourquoi pas!!!